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La Grande-Bretagne participe au laser XFEL

20.03.2018 - Communiqué de presse

La Grande-Bretagne a adhéré aujourd’hui à la convention relative à la construction et à l’exploitation d’un laser européen à électrons libres dans le domaine des rayons X (XFEL), le laser à rayons X le plus puissant au monde installé en Allemagne.

La Grande-Bretagne devient donc officiellement le douzième pays partenaire de ce projet de recherche international. Le laser XFEL génère des éclairs de rayons X à haute intensité qui peuvent être utilisés par les chercheurs du monde entier. Cette adhésion a été précédée d’une coopération fructueuse de longue date dans le domaine scientifique et à laquelle des instituts de recherche en Grande-Bretagne ont participé de manière substantielle.

L’adhésion de la Grande-Bretagne au XFEL montre que la science crée des ponts entre les pays. Le XFEL marque l’émergence d’un grand centre de recherche commun en Europe dont le rayonnement attire des chercheurs et des scientifiques du monde entier. Le fait que la Grande-Bretagne soit désormais un partenaire permanent du projet européen XFEL représente un atout majeur pour la recherche fondamentale en Europe

, a affirmé le secrétaire d’État du ministère fédéral de l’Éducation et de la Recherche, Georg Schütte.

Le secrétaire d’État des Affaires étrangères, Walter Lindner, a déclaré pour sa part :

Nous nous félicitons de cette adhésion grâce à laquelle nous poursuivrons et renforcerons l’excellent partenariat que nous entretenons déjà avec la Grande-Bretagne dans le domaine de la recherche. Le XFEL vient couronner les efforts déployés par le ministère fédéral des Affaires étrangères dans la course internationale aux meilleurs cerveaux.

Outre l’Allemagne, la Russie, le Danemark, la France, l’Italie, la Pologne, la Suède, la Suisse, la Slovaquie, l’Espagne, la Hongrie et désormais la Grande-Bretagne participent au projet. En adhérant à la convention, la Grande-Bretagne s’engage à verser une somme unique de 30 millions d’euros et à contribuer annuellement aux frais de fonctionnement. La Grande-Bretagne avait pris part aux négociations du projet mais n’avait pas encore concrétisé son adhésion.

Pour en savoir plus :

https://www.bmbf.de

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